La Terre du Désert
20/11/2025
Iguanedudesert

PAROLE INCONDITIONNELLE

MINUTE IGUANE !

Il fallait que ça m’arrive !

Il fallait que ça m’arrive ! Histoire personnelle, vécue, je dois porter le nom de l’Iguane en permanence pour que les personnes s’approchent !

LE CONTEXTE :
Pour renter chez moi, je descends l’escalier du parking, difficilement encore, nous sommes en août 2025, je marche encore en béquille, l’opération s’est bien passée mais pour descendre les marches en alternance, il faut encore attendre.
Arrivée à la dernière marche, l’un de mes voisins du 2nd étage de l’autre bâtiment de la résidence, m’interpelle, il veut me parler, vu son âge avancé, je l’attends.

L’HISTOIRE :
Il s’avance au pied de l’immeuble. Pensant que c’est un sujet concernant la résidence, je ne m’attendais à ce qu’on me dise « Je vois que tu souffres je vais demander à Dieu de te guérir ». Il s’est positionné face à moi, les paumes des mains vers le ciel, les yeux fermés il commença sa prière.

Il m’a dit que je commencerai à ne plus avoir mal le soir même.

Assise sur le canapé, une voix m’a dit « Douterais-tu de mes capacités ? » j’ai simplement répondu « Non, juste que tant que l’appréhension persistera, la guérison ne pourras se faire. »

Je n’ai pas eu aussi mail qu’il y a deux mois, impossible de plier la jambe, une douleur intense que j’ai du reprendre le traitement (deux cachets d’Izalgi, soit 500mg x2 de paracétamol et 25mg x2 de poudre d’Opium !).

Le lendemain j’avais toujours mal, moins, mais la douleur persistait !

Et lorsque l’on me dit « Pourquoi n’as-tu pas demandé qui c’était (la voix) ? » Ça ne m’est pas venu à l’esprit, comme si je savais qui c’était sans le demander…
Il fallait que ça m’arrive ! Histoire personnelle, vécue, je dois porter le nom de l’Iguane en permanence pour que les personnes s’approchent !

LE CONTEXTE :
Pour renter chez moi, je descends l’escalier du parking, difficilement encore, nous sommes en août 2025, je marche encore en béquille, l’opération s’est bien passée mais pour descendre les marches en alternance, il faut encore attendre.
Arrivée à la dernière marche, l’un de mes voisins du 2nd étage de l’autre bâtiment de la résidence, m’interpelle, il veut me parler, vu son âge avancé, je l’attends.

L’HISTOIRE :
Il s’avance au pied de l’immeuble. Pensant que c’est un sujet concernant la résidence, je ne m’attendais à ce qu’on me dise « Je vois que tu souffres je vais demander à Dieu de te guérir ». Il s’est positionné face à moi, les paumes des mains vers le ciel, les yeux fermés il commença sa prière.

Il m’a dit que je commencerai à ne plus avoir mal le soir même.

Assise sur le canapé, une voix m’a dit « Douterais-tu de mes capacités ? » j’ai simplement répondu « Non, juste que tant que l’appréhension persistera, la guérison ne pourras se faire. »

Je n’ai pas eu aussi mail qu’il y a deux mois, impossible de plier la jambe, une douleur intense que j’ai du reprendre le traitement (deux cachets d’Izalgi, soit 500mg x2 de paracétamol et 25mg x2 de poudre d’Opium !).

Le lendemain j’avais toujours mal, moins, mais la douleur persistait !

Et lorsque l’on me dit « Pourquoi n’as-tu pas demandé qui c’était (la voix) ? » Ça ne m’est pas venu à l’esprit, comme si je savais qui c’était sans le demander…