J’ai longtemps hésité à écrire sur le sujet non seulement sur le point de vue spirituel mais également la divergence de la frontière qu’engage ce mot dans la société.
De ce dernier point de vue, l’innocence est l’un des moteurs humains concernant la véracité des faits exposés.

De l’autre côté, de notre essence spirituelle émane notre innocence. Elle se caractérise comme étant accomplie auprès de ceux qui la demandent.

La consonance avec l’inconscient nous permet d’orienter celle-ci comme une apparence de l’âme, qui ressent et fait ressentir les coups abstraits des actions menées. Ces chocs peuvent aussi bien être positifs, négatifs ou neutres.

L’innocence fait état de plénitude lorsque l’âme entre en résonnance avec les acquis passés et futurs (le présent est déjà passé et nous amène dans le futur continuellement). Chacun et chacune d’entre nous peut acquérir cet état par la franchise et la compréhension de ses erreurs. Mais personne ne s’y attarde étonnamment.

Concrétiser notre état d’innocence n’est que temporel, et pourtant travailler sur celle-ci permet d’entrevoir certaines situations difficiles avec plus d’aisance.