Il est loin le temps où tracer sa route pour s’adapter permettait de vivre à une apogée. Plus l’âge avance, plus une angoisse permanente se métamorphose en plusieurs degrés comme un léger voile pour devenir une bâche opaque.
Vivre et sourire, taire le moment où il faudra partir.
Un faux semblant comme un faux départ, résurrection propice, court moment sans douleur, espérer, sans espoir s’éteindre ensuite.
Une particule inerte, de poussière, la dernière.
Rester humble sans sourciller, avec confort ou dépourvu, rester à la fois fort et fragile, le vécu est fait, il ne peut être changé, « et si… » N’existe pas, les conséquences assumées et le reste sans importance à cette étape.
Que reste-t-il de nos vies insignifiantes lorsque le vent souffle ?
Il est loin le temps où tracer sa route pour s’adapter permettait de vivre à une apogée. Plus l’âge avance, plus une angoisse permanente se métamorphose en plusieurs degrés comme un léger voile pour devenir une bâche opaque.
Vivre et sourire, taire le moment où il faudra partir.
Un faux semblant comme un faux départ, résurrection propice, court moment sans douleur, espérer, sans espoir s’éteindre ensuite.
Une particule inerte, de poussière, la dernière.
Rester humble sans sourciller, avec confort ou dépourvu, rester à la fois fort et fragile, le vécu est fait, il ne peut être changé, « et si… » N’existe pas, les conséquences assumées et le reste sans importance à cette étape.
Que reste-t-il de nos vies insignifiantes lorsque le vent souffle ?